Synesthesia

Les origines

Synesthesia a été commencé à la fin de l'écriture du Tome 2 de Leo Kryssen : Le visage de la Peur. Elle n'avait aucune connexion directe avec cette histoire. Seul un personnage devait faire un pont entre les mondes : Nova.

Mais l'histoire à prit une autre tournure. Avec l'avancée de : L'Eternelle, Nova a laissé place à Adam, devevant presque omniprésent. (N'en témoigne les personnages qui y sont associés) Synesthesia est alors devenu (à la fois à défaut et accepté) la suite directe de cette Trilogie.

Cette tendance d'écriture apparait bien plus à partir de l'Acte 3. Et rien ne pousse pour l'instant la nécessité d'avoir lu la trilogie pour comprendre l'histoire de Synesthesia.

Pourquoi "Synesthesia" ?

La véritable origine de Synesthesia viens d'un album du même nom du groupe Courage My Love. Son écriture singulière et le sens donné au titre de l'album m'a grandement inspiré. Que ce soit le format, l'esthétique que j'ai voulu y insuffler. Mais aussi à ce que j'y écrit, ce que je raconte des personnages.

La Synesthesie, c'est : − PATHOL. Trouble de la perception sensorielle dans lequel une sensation normale s'accompagne automatiquement d'une sensation complémentaire simultanée dans une région du corps différente de celle où se produit l'excitation ou dans un domaine sensoriel différent. – Source

Alors pourquoi Synesthesia ?

Synesthesia porte ce nom parce que tout ce qui y est écrit, métaphorise des détails, quels qu'ils soient, à travers les personnages existants. Mais aussi parce que tout ce qui caractérise une histoire de Synesthesia, sa carte, son titre, sa chanson, est caractéristique de ce trouble. Une chanson qui rappelle un couleur. Une sensation corporelle causée par une odeur...

Synesthesia est une histoire qui transpose mes sens, et qui, par son esthétique, essaie de vous les transposer pendant votre lecture.

L'importance du détail

Certaines de ces informations sont "cachées". Par exemple, les titres doubles ne vous donnent pas le nom de l'artiste du morceau qu'ils utilisent. Les autres, qui ne sont que des titres, non plus. C'est un choix, laisser la place à l'imagination de la personne qui le lit, donner l'importance que son esprit veux au titre que porte la note. Cette idée se pose aussi sur la carte. Elle raconte une histoire que j'ai choisis, mais restent volontairement abstraite pour laisser l'esprit du lecteur intéragir avec.

Maintenant, les morceaux liés aux notes sont disponibles, mais reste volontairement discrets, pour influencer au minimum la lecture.